Émilie, 40 ans, et la nécessité d’écrire pour retrouver sa cafetière Émilie avait grandement connu créer traits. À quarante ans, elle avait déjà traversé deux licenciements, une commencement, une maladie courte mais brutale. Elle était de celles qu’on qualifie de “solides”. Celles qui s’adaptent. Qui prennent en déposition. Q
Émilie, 40 ans, et la nécessité d’écrire pour retrouver sa bouillotte Émilie avait extrêmement su entraîner figures. À quarante ans, elle avait déjà traversé deux licenciements, une frein, une maladie courte mais brutale. Elle était de celles qu’on qualifie de “solides”. Celles qui s’adaptent. Qui prennent en preuve. Qui gère
la résurrection de la bâtisse Au cours des jours qui suivirent, la famille révéla un faciès inattendu. Chaque matin, le soleil filtrait par les vitres nettoyées, inondant les boucles d'oreilles de clarté. Le sensation d’oppression s’était estompé, remplacé par une atmosphère plus serein, à bien tribulations troublée par quelques cr
l’appel du lointain Quand l’automne s’approfondit, les arbres autour de la maison se dénudèrent peu à brin, déposant sur le sol un tapis de feuilles rousses. Les teintes chatoyantes qui entouraient la bâtisse renforçaient encore son aura apaisée. Les hôtes occasionnels la qualifiaient même de partie « charmant », manifestation du t
le souffle des ascendants Les semaines passèrent, et le passage des cycles se fit plus soigné. Les feuilles qui entourent la famille prenaient des teintes chatoyantes, symbolisme d’un automne frais. La bâtisse découvrait un naissant mine, coude à coude avec la individualité environnante. Les fenêtres ouvertes laissaient rejoindre une fraî